Egal à lui-même

« Que seraient nos cérémonies de remises de prix sans notre Edouard Baer national? », c’est la question que je vous pose aujourd’hui. Pas grand chose à coup sûr, illustration avec cette prestation de bonne facture qui le classe définitivement comme numéro un mondial du second degré dans mon Panthéon personnel. Je rappelle à cette occasion que j’offre la modique somme de 100 000 brouzoufs à la personne qui saura me fournir l’intégrale complète des oeuvres d’Edouard Baer (incluant ces errances au festival de Cannes dans les années 90). Autre solution qu’on se mette à plusieurs pour casser notre tirelire et aller fouiller les archives de l’INA, qui est partant?

Mar10

3 réponses to “Egal à lui-même”

  1. Ce gars, Edouard Baer, vu que je n’ai pas de télé, je ne l’avais jamais vu. Jusqu’au jour où je me suis fait viré, comme un mal propre du restaurant J’Go à Toulouse, pour que monsieur ait la salle du haut pour lui tout seul.
    Ce gars, je ne peux plus le voir, et le J’Go plus du tout.

  2. Eh Raf, moi j’aime beaucoup le groupe « Jean D’Ormesson Disco Suicide », j’ai le droit, NON ?!?

  3. C’est effectivement ton droit, je connaissais pas et j’aime beaucoup aussi, tu crois qu’il faut qu’on se fasse soigner?

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