Egal à lui-même
Rigolo
« Que seraient nos cérémonies de remises de prix sans notre Edouard Baer national? », c’est la question que je vous pose aujourd’hui. Pas grand chose à coup sûr, illustration avec cette prestation de bonne facture qui le classe définitivement comme numéro un mondial du second degré dans mon Panthéon personnel. Je rappelle à cette occasion que j’offre la modique somme de 100 000 brouzoufs à la personne qui saura me fournir l’intégrale complète des oeuvres d’Edouard Baer (incluant ces errances au festival de Cannes dans les années 90). Autre solution qu’on se mette à plusieurs pour casser notre tirelire et aller fouiller les archives de l’INA, qui est partant?
Mar10
mars 17, 2008 at 12:03
Ce gars, Edouard Baer, vu que je n’ai pas de télé, je ne l’avais jamais vu. Jusqu’au jour où je me suis fait viré, comme un mal propre du restaurant J’Go à Toulouse, pour que monsieur ait la salle du haut pour lui tout seul.
Ce gars, je ne peux plus le voir, et le J’Go plus du tout.
avril 23, 2008 at 7:36
Eh Raf, moi j’aime beaucoup le groupe « Jean D’Ormesson Disco Suicide », j’ai le droit, NON ?!?
avril 27, 2008 at 9:56
C’est effectivement ton droit, je connaissais pas et j’aime beaucoup aussi, tu crois qu’il faut qu’on se fasse soigner?